Le rôle social et d’éducation à la santé des personnels s’adresse à tous et à travers des actions menées avec le soutien de l’Intendante, ce rôle est mis en valeur au quotidien.

L’action anti-gaspi initiée dès octobre 2015 est le fruit d’un engagement de 5 élèves de BTS communication et de deux classes de seconde. Les résultats sont très encourageants et l’action se poursuivra l’année scolaire prochaine.

Le lycée accueille également de façon récurrente des stagiaires en diététique. C’est l’occasion d’accentuer et de développer notre politique de prévention en matière d’alimentation des jeunes tant sur le plan qualitatif que quantitatif.

Les menus proposés aux convives sont basés sur le local, le bio, la saisonnalité et un des principes retenus, suggéré par les élèves, sont les menus à thème qui permettent de découvrir l’Europe mais également des pays lointains.

Des écoles secondaires privées et même une école centrale départementale comblent ce vide de l’enseignement jusqu’à la création des lycées par le Premier Consul Bonaparte, le 1er mai 1802.

Ainsi, le collège d’AGEN nait le 18 novembre 1811 dans les locaux de l’ancien couvent des Carmélites, rue Saint-Jérôme, fermé en 1791 et devenu de 1800 à 1811, éphémère Préfecture de Lot-et-Garonne.

Puis, l’usure du temps et l’augmentation du nombre d’élèves, malgré de très nombreux travaux et projets d’agrandissement, amènent la municipalité de Jean-Baptiste DURAND (1880-1888) à décider l’édification d’un nouveau lycée. L’ancien établissement pouvant être dévolu aux jeunes filles dont l’enseignement secondaire devient obligatoire. Et le 25 avril 1883, les élus agenais votent la construction d’un nouveau lycée, dans le quartier Jayan, au lieu-dit « Laclotte ».

Ce vaste terrain longe la rue Neuve-du-Pont, devenue, le 17 juin 1884, boulevard de la Liberté. Les plans sont dressés par l’architecte LHERITIER et les travaux débutent par des terrassements et des apports de terre. On prélève dans le quartier Rodrigues, d’énormes quantités de terre pour « réaliser un promontoire de 4 hectares » !, la rue de l’ »Emprunt » en conserve le souvenir. Cette butte artificielle préserve des inondations, car la crue de 1875 (11m70) qui vient de ravager la ville est gravée dans les mémoires.

La cérémonie de pose de la première pierre a lieu le 26 avril 1888, en présence du Président de la République SADI CARNOT.

Un incident qui aurait pû être catastrophique marque la cérémonie : un effondrement de la grande tribune du public. Mais heureusement, l’accident ne fait que quelques blessés légers.